Saturday, August 10, 2013

14 conseils pour mener une stratégie de marque efficace



Petit mémo pour les lecteurs qui préfèrent commencer par la fin

1. La marque ne doit pas se confondre avec l’entreprise. La marque c’est le héros que l’entreprise va façonner volontairement, librement, consciemment pour arriver plus vite à la réalisation de son ambition stratégique et de ses objectifs ;

2. Une marque sert à faire du commerce, directement et indirectement : sa raison d’être c’est d’occuper le plus possible la première place dans l’esprit du client pour apparaître en « pole-position » au moment où le consommateur pense à un achat et passe à l’acte ;

3. La marque doit utiliser la publicité mais ne doit pas s’y résumer ! La publicité est un des moyens possibles pour exprimer la marque et diffuser l’idée sur laquelle elle repose. Mais Facebook n’a pas investi dans la publicité pour se faire connaître !

Construire une marque

4. Le branding, ou gestion de la marque, est une affaire de compétences professionnelles mais aussi de talent. En tout cas ce n’est pas un jeu de hasard ;
  
5. Les marques n’existent que parce que les individus sont des êtres de désir, agités par des émotions, parcourus de rêves même s’ils sont « bourrés » de contradictions. C’est ce qui, pour l’instant, a donné tort à tous les Cassandre qui ont régulièrement annoncé la fin des marques ;

6. L’idée contenue dans une grande marque entre en résonance avec une idée qui existe dans l’esprit des individus à un moment donné : aujourd’hui, le standard pour une lessive c’est de rendre le linge parfaitement propre ; mais le besoin nouveau c’est de parfumer, de protéger la fibre, de respecter la peau, et de protéger l’environnement. C’est le partage de la même idée entre la marque et les individus qui donne naissance à un marché ;

5 conseils pour créer votre entreprise



Il existe certainement autant de façon de lancer son entreprise qu’il y a d’entreprises dans le monde. Chaque entrepreneur y va de son propre son propre feeling, de sa propre méthode, suit son propre business plan selon différents critères comme par exemple son domaine d’activité ou bien son type de clientèle.

Voici quelques conseils auxquels vous pourrez penser lorsque vous vous lancerez dans la création de votre entreprise. Ils abordent divers domaines comme la gestion de votre temps ou bien l’achat de votre équipement et pourront je l’espère vous éviter de commettre quelques erreurs en début de parcours ou bien vous remettre rapidement sur de bons rails.

1. Avoir un minimum d’expérience 
 
Sans aucune expérience, il est très difficile pour ne pas dire quasiment impossible de pouvoir se lancer dans une activité pérenne à moyen terme. Aucune expérience signifie bien souvent aucune référence, aucun client, aucun portfolio. Il n’est donc pas aisé sans aucune arme de persuasion de convaincre ses premiers prospects.

Imaginez-vous un instant à la place de vos prospects. Vous recherchez une entreprise pour organiser votre mariage et vous vous faites démarcher par un commercial qui n’a encore jamais organisé un seul mariage. Pensez-vous que vous lui confierez l’organisation de ce jour unique de votre vie ?

J’ai, pour ma part, débuté mon activité de freelance en tant que développeur web avec pour seule et unique référence un site personnel de tennis de table. Mais j’avais cependant déjà 3 contrats signés auprès avec d’amis entrepreneurs, ce qui m’a permis de créer rapidement un premier portfolio avec mes premières références.

2. Commencer à mi-temps

Si vous êtes encore salarié, pourquoi ne pas commencer votre activité freelance à mi-temps ? Cela vous permet de garder une source de revenus mensuels et peut vous laisser assez de temps pour vous faire une idée sur la pérennité de votre entreprise.

5 steps to create an effective affiliate marketing plan



Pourquoi devez-vous créer un plan marketing d’affiliation

Vous voulez gagner de l’argent sur internet en vendant des produits d’affiliation ? Comme tout projet, commencez par créer un plan marketing facile à mettre en place. Cela vous évitera de vous éparpiller et de savoir à chaque instant ce que vous allez faire pour vous approcher de vos objectifs.
  
Rappelez-vous de l’adage « celui qui ne planifie pas, planifie son échec ». Vous voyez l’importance d’avoir un plan marketing et de planifier toutes les étapes pour arriver à vivre de votre passion : le marketing d’affiliation.
 
1- Se concentrer au début sur une seule niche

Il est important de mettre par écrit les étapes de votre plan marketing pour atteindre votre objectif. Au début, focalisez-vous sur une seule niche cela vous permettra de mettre toutes vos ressources en action et de mener à terme votre plan de marketing d’affiliation.

En effet, il est plus facile de connaître tous les rouages d’une niche avant d’étendre votre plan marketing vers d’autres créneaux. Vous mettrez moins de temps à évaluer le nouveau marché car vous aurez déjà une idée des techniques de marketing qui fonctionnent.

2- Choisissez des produits ayant un taux de transformation élevé 
 
Consacrez du temps à la recherche de produits d’affiliation qui ont un taux de transformation élevé. Il est préférable de promotionner dans un premier temps des articles qui ont déjà rencontrés un succès. Dans ce cas vous serez certainement amenés à vendre les mêmes produits que vos concurrents et qui se trouvent sûrement dans un marché très concurrentiel.
  
Sachez que si d’autres personnes ont choisi les mêmes produits que vous, cela prouve que ces derniers sont d’actualité. Dans ce cas précis, il est plus facile d’amener votre prospect à les acheter. Votre travail consistera essentiellement à envoyer du trafic ciblé vers la page de vente du produit.
  




La restructuration de crédit pour les entreprises



Céder une entreprise en « retournement » ne s’improvise pas. S’il s’avère que la nature et la gravité des difficultés sont variables (l’entreprise peut être en état de cessation des paiements, sous perfusion de son actionnaire, …), la réussite de la cession d’une entreprise en « situation spéciale » repose toujours sur les mêmes fondamentaux : affronter la réalité le plus rapidement possible et utiliser le temps et la trésorerie disponible pour préparer la transaction dans les meilleures conditions. Nous avons constaté, au cours de nos différentes missions, les best practices suivantes :

Déchiffrer l’état d’esprit des parties

Avant de s’attacher aux modalités de la cession, il convient avant tout de bien appréhender l’état d’esprit des différentes parties prenantes.

Le dirigeant-salarié

Nous constatons que le dirigeant-salarié est souvent dans le déni. La tête dans le guidon, celui-ci tarde à prendre conscience de la gravité de la situation et son discours démontrant un retournement imminent est bien huilé. Les difficultés viennent rarement d’un coup, et il a déjà fait face à de nombreuses tensions ; à l’image du joueur de casino qui, s’étant sorti par le haut d’un mauvais pari, prend de plus en plus de risques, le dirigeant qui a déjà surmonté des difficultés va être persuadé qu’il peut à nouveau retourner la situation. Persuadé, il sera d’autant plus persuasif ! 
 
Le dirigeant-actionnaire

La paralysie est encore plus forte pour le dirigeant-actionnaire. Sa réussite a souvent reposé sur une certaine prise de risques et son tempérament d’entrepreneur est peu compatible avec un comportement rationnel lorsque qu’une cession in bonis est encore envisageable. On voit ainsi des actionnaires-créateurs qui préfèrent négocier des moratoires et rembourser des dettes sur de nombreuses années, sans augmenter pour autant la valeur de leur patrimoine, plutôt que de céder, même à bas prix, tant qu’il est encore temps. 

La reprise d'une entreprise en difficulté


Le fait de reprendre une entreprise dite "en difficulté" présente un avantage évident : le faible prix de cession. Cependant, ce type de reprise peut aussi présenter beaucoup d'inconvénients qui, à terme, augmentent le coût initial et peuvent causer nombreux soucis.


  • Qu'est-ce qu'une entreprise en difficulté ?

  • Les avantages de reprendre une entreprise en difficulté

  • Les inconvénients de reprendre une entreprise en difficulté


Qu'est-ce qu'une entreprise en difficulté ?



Une entreprise dite "en difficulté" est une entreprise qui connaît ou a connu une procédure légale (cessation des paiements, ...).



Avant de vous engager dans le rachat d'une entreprise en difficulté, demandez-vous ou demandez directement au vendeur les raisons de ces difficultés ?



Pourquoi et comment l'entreprise en est-elle arrivée à cette situation ?


Qu'allez-vous modifier, par rapport à la gestion du vendeur, pour sauver l'entreprise que vous rachetez ?



Il est possible de classer les difficultés rencontrées par l'entreprise en deux grandes familles, les difficultés courantes, comme :


  •  impayés chroniques

  •  incidents de paiements

  •  déficits chroniques


et les difficultés judiciaires, comme :

  •     cessation de paiement

  •     procédure judiciaire

  •     plan de continuation

  •     plan de restructuration

  •     plan de licenciement

  •     redressement judiciaire

  •     liquidation judiciaire


Les rachats d'entreprises en difficultés d'ordre judiciaire sont réglementées.


Les avantages de reprendre une entreprise en difficulté



Le principal avantage réside dans le prix de cession de cette entreprise. Il est fonction notamment de l'importance et de la gravité des difficultés rencontrées.



En effet, si une entreprise connaît des déficits depuis plusieurs années, que ses fonds propres (capital et réserves) sont négatifs, et que le propriétaire souhaite vendre son entreprise à ce moment, le prix de cession qu'il proposera sera fonction de l'importance des pertes et retards de paiements; le prix sera alors fortement diminué.



Cependant, du point de vue du cédant, il peut voir un avantage à vendre son entreprise en difficulté, même pour l'euro symbolique, parce qu'il souhaite sauver un savoir faire, éviter des licenciements, etc ...